Le Conseil exécutif de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a adopté vendredi une troisième résolution en faveur de la Palestine, faisant suite à l’adoption de deux résolutions précédentes mercredi, lors de sa 219e session tenue à Paris, la capitale française.
Le ministère des Affaires étrangères et des Expatriés a indiqué dans un communiqué que le Conseil a adopté vendredi « une troisième résolution intitulée : L’impact et les conséquences de la situation actuelle dans la bande de Gaza sur tous les aspects de la mission de l’UNESCO, après avoir adopté à l’unanimité deux résolutions liées à l’État de Palestine : Palestine occupée et institutions culturelles et éducatives.
Le ministre palestinien des Affaires étrangères, Riyad al-Maliki, a salué l’adoption de la troisième résolution, déclarant que l’adoption des résolutions est « importante pour préserver les droits du peuple palestinien dans les domaines de travail de l’UNESCO, à la lumière des crimes et violations commis par Israël, en particulier à Gaza. Bande. »
Il a poursuivi : « L’adoption de ces résolutions est la preuve de la capacité de la communauté internationale à assumer ses responsabilités en faisant face aux violations et en surveillant les dommages afin de mettre en œuvre un plan d’action urgent pour protéger le peuple palestinien et son patrimoine culturel et son histoire menacée par la colonisation israélienne et reconstruire et développer la bande de Gaza. »
Mercredi, le Conseil exécutif de l’UNESCO a adopté à l’unanimité deux résolutions liées à l’État de Palestine : « Palestine occupée » et « institutions culturelles et éducatives », selon un communiqué du ministère palestinien des Affaires étrangères.
L’adoption des trois résolutions intervient dans le contexte d’une guerre israélienne en cours contre Gaza depuis le 7 octobre 2023, qui a provoqué des destructions massives et des dizaines de milliers de victimes civiles, dont la plupart sont des enfants et des femmes, et une famine qui a coûté la vie à des enfants. et des personnes âgées, ce qui a conduit Israël, pour la première fois, à comparaître devant la Cour internationale de Justice pour avoir commis un génocide.
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