
Le département de la Défense des États-Unis, le Pentagone, déclare que les attaques quasi quotidiennes contre les forces américaines en Irak et en Syrie ont cessé depuis l’entrée en vigueur de la trêve entre Israël et le Hamas il y a 5 jours.
Depuis la mi-octobre, les forces américaines dans ces deux pays ont été visées plus de 70 fois par des missiles et des drones.
Pat Rayder, porte-parole du Pentagone, souligne : « Aucune attaque n’a été enregistrée contre les forces américaines en Irak et en Syrie depuis le début de la trêve temporaire le 23 novembre, date de son instauration. »
Bien que ces attaques aient entraîné des blessures chez de nombreux militaires américains présents en Irak et en Syrie, tous ont depuis repris leurs fonctions.
Les frappes israéliennes dévastatrices sur la bande de Gaza ont provoqué la mort de plus de 15 000 personnes, en majorité des enfants et des femmes selon les autorités du Hamas.
Ce bilan a suscité un vif mécontentement au Moyen-Orient, incitant des groupes armés opposés aux États-Unis et à Israël à mener des attaques contre les forces américaines dans la région.
Depuis le 24 novembre, une trêve de 4 jours, négociée par le Qatar, a permis la libération de détenus par le Hamas en échange de la libération de prisonniers palestiniens détenus par Israël.
Cette trêve a été prolongée de deux jours, tandis que des médiateurs travaillent à instaurer un cessez-le-feu durable dans le conflit entre Israël et le Hamas.
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