
Les rassemblements de jeudi soir, exigeant la fin de l’agression israélienne dans la bande de Gaza, ont eu un impact sur la circulation dans plusieurs grandes villes américaines.
Au cœur de Boston, la capitale du Massachusetts, les manifestations ont complètement paralysé la circulation, les protestataires appelant à mettre fin aux hostilités à Gaza.
Des dizaines de militants, dont certains étaient d’origine juive, ont également perturbé la circulation lors d’un sit-in sur le pont de Washington à Chicago.
Les manifestants ont cherché à perturber la vie quotidienne pour exercer une pression en faveur de l’arrêt des hostilités à Gaza, tout en attirant l’attention sur les atrocités subies par les Palestiniens et en condamnant le soutien de la Maison Blanche à Israël.
Dans le même ordre d’idées, un groupe juif a organisé des manifestations dans huit villes américaines simultanément pour réclamer la fin des hostilités à Gaza.
Ces manifestations ont perturbé la circulation pendant les heures de pointe sur des rues et des ponts très fréquentés à Washington et à Philadelphie.
À Washington, le groupe « Voix juive pour la paix » a signalé qu’environ 90 manifestants ont fermé le pont menant à la New York Avenue dans la partie nord-ouest de la capitale.
La police a confirmé que la manifestation a entraîné la fermeture de l’intersection de la New York Avenue et de la North Capitol Street, incitant les automobilistes à emprunter des itinéraires alternatifs.
Le groupe a relayé sur la plateforme Ex : « Pour la huitième nuit de Hanoukka, huit villes et huit ponts. Nous sommes ici, rassemblés à travers le pays en nombre important et croissant pour dire ‘ça suffit’ ».
Des manifestations similaires ont également eu lieu à Atlanta, Minneapolis, Seattle et Portland, dans l’Oregon.
Mercredi dernier, des activistes anti-guerre ont bloqué la circulation sur une autoroute très fréquentée à Los Angeles pendant l’heure de pointe du matin, tandis que certains employés de l’administration du président Joe Biden ont organisé un rassemblement pour demander la fin des hostilités.
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