
Le variant « Jh 1 » du virus COVID-19 a été qualifié d’intéressant et largement répandu par l’Organisation mondiale de la santé. Selon l’OMS, le taux d’infection mondial par ce nouveau variant a augmenté de 52% entre le 20 novembre et le 17 décembre de cette année. L’organisation a préconisé la vaccination pour prévenir l’infection et atténuer les symptômes, tout en insistant sur le retour au respect des mesures préventives telles que le port de masques et la désinfection régulière.
Avec l’annonce du variant « Jh 1 », le débat sur le coronavirus, ses symptômes et son impact sur les humains a ressurgi sur les médias sociaux. Les utilisateurs ont partagé leurs expériences avec ce nouveau variant, mentionnant des symptômes tels que la perte de l’odorat, des maux de tête, une congestion nasale, de la fièvre et de la fatigue. Certains ont souligné une période de rétablissement plus prolongée par rapport aux infections antérieures.
Certains ont appelé à prendre au sérieux la propagation rapide du variant « Jh 1 » et à revenir aux mesures préventives, en particulier le port de masques et la distanciation sociale, pour réduire les infections. Des experts médicaux ont tenté de rassurer ceux qui s’inquiètent du nouveau variant, affirmant que les mutations sont prévisibles et, dans l’ensemble, ne diffèrent pas fondamentalement de celles qui l’ont précédé. Ils ont souligné que les symptômes du variant « Jh 1 » sont similaires à ceux des variants précédents, selon les données des pays qui ont partagé leurs informations, et qu’il n’y a pas lieu de céder à la panique.
Cependant, certains utilisateurs des réseaux sociaux ont remis en question l’annonce de l’OMS, suggérant qu’elle cherchait à favoriser l’industrie pharmaceutique. Ils ont noté que les gens ne traitent plus le COVID-19 comme au début il y a quatre ans, le considérant désormais comme un rhume saisonnier.
Les autorités sanitaires en Arabie saoudite ont assuré qu’il n’y avait pas lieu de s’inquiéter et qu’aucune menace grave n’était présente. Le variant « Jh 1 » est considéré comme une souche dérivée du COVID-19, et l’efficacité du vaccin COVID-19 existant est maintenue, ne nécessitant pas de mesures strictes supplémentaires. Ils ont conseillé à tous de s’informer auprès de sources officielles fiables.
Aux États-Unis, les Centers for Disease Control and Prevention ont déclaré que les infections par le nouveau sous-variant « Jh 1 » représentaient entre 39% et 50% de tous les cas dans le pays jusqu’au 23 décembre. Plusieurs pays, dont la France, Singapour, le Canada, le Royaume-Uni et la Suède, ont signalé la présence de ce variant, selon l’OMS, et la Chine a détecté 7 cas la semaine dernière.
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